La question que nous allons traiter est basée sur un cas réel d'une personne décédée qui a donné lieu à la R DGSFP du 28 juillet 2020.

Elle est décédée avec deux nationalités suisse et allemande et résidant en Espagne. Faites un testament le 25 octobre 2016 devant un notaire espagnol. Dans ce document, il professio iuris en faveur du droit suisse. Les deux filles reçoivent une propriété en Espagne.

 La loi applicable à la succession est la loi suisse sur le bien-fondé de la professio iuris exercée. Selon la loi suisse, le  certificat d'héritiers assortie de l'acte public négativement qualifié pour ne pas accréditer la preuve du droit suisse. Selon le certificat, le 14 mars 2019, toutes les dispositions du dernier testament du défunt ont été ouvertes (y compris les éventuels pactes successoraux, communs dans cette loi) dont seuls les enfants étaient héritiers volontaires en tant qu'héritiers (article 557 du Code civil Code Suisse (voir : https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19070042/index.html).

Le document fondamental est le «certificat d'héritiers»Comme il est émis une fois le processus de succession terminé et agit comme un véritable certificat de succession. Selon la loi suisse, les héritiers volontaires peuvent disposer sans le consentement des héritiers qui ont un droit au crédit. 

Cependant, le DG rejette le recours auprès du notaire ordonnateur. Le DG dit que lui-même et le registraire basé sur le certificat des héritiers doivent rendre un jugement de légalité qui comprend, selon R, de (voir R DGSFP, du 28 juillet 2020)  

«Ils doivent analyser que le certificat d'héritiers est fonctionnellement équivalent à un document délivré par l'autorité espagnole, même avec adaptation (troisième disposition supplémentaire de la loi 15/2015). Règle applicable, de préférence à l'article 60 de la loi 29/2015, du 30 juillet, sur la coopération judiciaire internationale en matière civile, dans la mesure où elle équivaudrait fonctionnellement à une déclaration d'héritiers, l'institution la plus proche, encore limitée en droit espagnol à ab successions ab intestat, en analysant le respect des exigences qui y sont établies. Ceux-ci sont:

  1. a) que le document a été délivré par une autorité étrangère compétente conformément à la législation de son Etat ; 
  2. b) l'autorité étrangère est intervenue dans la préparation du document, remplissant des fonctions équivalentes à celles exercées par les autorités espagnoles dans l'affaire en question et ayant des effets identiques ou plus proches dans le pays d'origine; 
  3. c) que le fait ou l'acte contenu dans le document est valable conformément à l'ordonnance désignée par les règles espagnoles de droit international privé, et 
  4. d) que l'enregistrement du document étranger n'est pas manifestement incompatible avec l'ordre public espagnol. 

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